Comment en savoir plus : syndrome douloureux régional complexe ?

par | Mis à jour le 06/09/2023 | Publié le 11/03/2023 | Blog, Maladies

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La directrice de WO USPE FORMATIONS :Corine Cliquet, ancienne présidente d’une association de patients atteints du syndrome douloureux régional complexe (SDRC) et ayant souffert de cette affection deux fois, elle va vous apporter quelques informations complémentaire. Cependant, il est important de se rappeler que chaque cas de SDRC est unique et que chaque patient devrait consulter un professionnel de la santé pour obtenir un diagnostic et un plan de traitement personnalisé. Dans cet article, nous explorerons quelques-unes des ressources fiables disponibles pour en savoir plus sur le SDRC et aider à gérer cette affection.

A savoir:

Nous sommes heureux d’annoncer que WO USPE FORMATIONS propose une formation sur le Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC) ou algodystrophie pour les patients, les aidants et les proches des patients atteints de cette maladie.

La formation sera animée par Corine Cliquet, la PDG de WO USPE FORMATIONS et une patiente ressource expérimentée sur le SDRC. Elle partagera ses connaissances et son expertise pour aider les participants à mieux comprendre cette maladie complexe et à mieux accompagner les patients atteints de SDRC.

La formation fournira également des informations pratiques sur les traitements disponibles, les stratégies d’adaptation et les approches pour gérer la douleur chronique. Les participants apprendront également comment soutenir les patients atteints de SDRC dans leur parcours de soins, et comment aider à améliorer leur qualité de vie.

Nous sommes convaincus que cette formation sera extrêmement utile pour les patients, les aidants et les proches des patients atteints de SDRC, et nous espérons vous voir nombreux lors de cette formation.

Nous avons déjà écrit plusieurs articles sur le SDRC, mais cela nous tien à cœur de continuer à informer et alerte les gens sur ce syndrome. Qui est souvent prit à la légère part certains médecins, plus on est informé et plus on peut prendre ses propres décisions sans donner le pouvoir aux autres.

syndrome douloureux régional complexe
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Qu’est ce que le syndrome douloureux régional complexe?

Le SDRC, ou syndrome douloureux régional complexe, est un trouble neurologique qui se caractérise par une douleur chronique intense, généralement dans les bras, les jambes, les mains ou les pieds. Les personnes atteintes de SDRC peuvent également éprouver une sensibilité excessive, une rougeur ou un gonflement dans la zone touchée.

Le SDRC est également connu sous le nom de syndrome de Sudeck, de dystrophie sympathique réflexe ou de causalgia. On ne sait pas exactement ce qui cause le SDRC, mais il est souvent déclenché par une blessure, une opération chirurgicale, une infection ou une maladie.

Il existe deux types de SDRC :

Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC), également appelé algodystrophie ou algoneurodystrophie, est divisé en deux types principaux: le SDRC de type 1 et le SDRC de type 2.

  • le type I, qui se produit après une blessure ou une maladie qui n’affecte pas directement les nerfs périphériques. Le SDRC de type 1, également connu sous le nom d’algodystrophie ou de dystrophie sympathique réflexe, est généralement déclenché par une blessure ou une intervention chirurgicale et se caractérise par des douleurs intenses, une enflure, une rougeur et une sudation excessive dans la zone touchée. Il peut également y avoir une perte de mouvement et de fonction dans la zone touchée. Le SDRC de type 1 est généralement diagnostiqué sur la base des symptômes et de l’examen physique, ainsi que de tests d’imagerie.
  • le type II, qui se produit après une lésion nerveuse directe. Le SDRC de type 2, également connu sous le nom d’algoneurodystrophie ou de neuropathie sympathique réflexe, est généralement causé par une lésion nerveuse et se caractérise par des douleurs intenses, une sensibilité accrue, une enflure, une rougeur et une sudation excessive dans la zone touchée. Il peut également y avoir une perte de mouvement et de fonction dans la zone touchée. Le diagnostic du SDRC de type 2 est généralement établi sur la base des symptômes et de tests neurologiques.
  • Bien que les deux types de SDRC puissent présenter des symptômes similaires, ils ont des causes sous-jacentes différentes. Le traitement peut varier en <-è_)fonction du type de SDRC et des symptômes spécifiques présentés par chaque patient.

Le traitement du SDRC vise à réduire la douleur et à améliorer la fonction. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments, une thérapie physique, une stimulation nerveuse électrique transcutanée (TENS) et la psychothérapie. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire.

Le SDRC est un trouble complexe qui peut être difficile à diagnostiquer et à traiter. Si vous pensez que vous pourriez être atteint de SDRC, il est important de consulter un médecin pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.

Comment reconnaître si nous avons le SDRC quand nos douleurs sont persistantes après une blessure ou une chirurgie

Il peut être difficile à diagnostiquer car les symptômes peuvent varier considérablement d’une personne à l’autre. Cependant, si vous avez des douleurs chroniques et une sensibilité excessive dans une partie de votre corps qui persiste après une blessure ou une intervention chirurgicale, cela pourrait être un signe de SDRC.

Les symptômes les plus courants comprennent une douleur intense et persistante, une sensibilité excessive, une rougeur ou un gonflement dans la zone touchée, une perte de mobilité, une raideur ou une faiblesse musculaire, des changements de température ou de texture de la peau, ainsi que des changements de la pilosité (croissance des poils).

Il est important de consulter un médecin si vous avez des symptômes persistants après une blessure ou une intervention chirurgicale, car le traitement précoce peut aider à prévenir des complications à long terme. Votre médecin pourra évaluer vos symptômes et effectuer un examen physique pour déterminer si vous avez un SDRC ou une autre affection médicale. Dans certains cas, des tests d’imagerie, tels que des radiographies, des IRM ou des scans TEP, peuvent être nécessaires pour aider à diagnostiquer le SDRC.

la différence entre le type chaud et celui du type froid

Oui, les termes type “chaud” et “froid” sont utilisés pour décrire les symptômes physiologiques observés chez les patients atteints de SDRC, en fonction de la température de la peau dans la zone touchée.

Le type chaud est également appelé SDRC de type I ou SDRC de type sympathique réflexe. Les symptômes comprennent une douleur intense, une rougeur, une sensation de chaleur et une transpiration excessive dans la zone affectée. Le SDRC de type chaud est associé à une augmentation de l’activité du système nerveux sympathique, qui contrôle la réponse de l’organisme aux situations de stress.

Le type froid est également appelé SDRC de type II ou SDRC de type dystrophique. Les symptômes comprennent une douleur intense, une sensation de froid, une pâleur, une peau sèche et une diminution de la température dans la zone affectée. Le SDRC de type froid est associé à une diminution de l’activité du système nerveux sympathique.

Il est important de noter que la classification du SDRC en type chaud ou froid est basée sur des observations cliniques et que la distinction entre les deux types n’est pas toujours claire. En outre, il est possible que les patients présentent des caractéristiques de SDRC des deux types. Le traitement du SDRC est souvent complexe et doit être adapté aux besoins individuels de chaque patient.

Est-il vrai que le type froid est que pour les enfants?

Non, il n’est pas vrai que le SDRC de type froid est spécifique aux enfants. Bien que le SDRC de type froid soit parfois appelé « SDRC infantile », car il a été initialement décrit chez des enfants, il peut également se produire chez des adultes.

Le type froid est caractérisé par des douleurs chroniques dans les extrémités, qui peuvent être accompagnées d’enflure, de raideur, de changements de température et de couleur de la peau, et d’une sensibilité accrue au toucher. Contrairement au SDRC de type chaud, où la zone touchée est chaude au toucher et rouge, dans le SDRC de type froid, la zone touchée est froide et pâle.

Il est souvent considéré comme plus difficile à traiter que le SDRC de type chaud. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments pour soulager la douleur, la thérapie physique et la réadaptation, ainsi que des techniques de gestion du stress et de relaxation. Dans certains cas, des interventions chirurgicales peuvent également être nécessaires pour traiter les complications du SDRC de type froid, telles que la contracture musculaire et la perte de mobilité.

Il est important que les patients atteints du type froid reçoivent un diagnostic et un traitement précoces pour maximiser leurs chances de récupération et de rémission. Les enfants et les adultes peuvent tous deux être touchés par le SDRC de type froid, et une intervention rapide et efficace est essentielle pour minimiser les dommages et améliorer les résultats.

Il existe 4 phases dans ce syndrome:

Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) est une affection douloureuse chronique qui peut affecter les membres du corps et qui peut avoir un impact significatif sur la qualité de vie des patients. Il est souvent divisé en quatre étapes, également appelées stades ou phases, qui sont décrites ci-dessous :

  1. La phase initiale ou phase chaude : Cette première étape est marquée par une douleur intense, une inflammation, une sensation de chaleur et de rougeur de la peau. Les patients peuvent également présenter une sudation excessive, un œdème et une raideur articulaire. Les symptômes de cette phase peuvent apparaître dans les 1 à 3 mois suivant la blessure initiale ou l’opération.
  2. La phase dystrophique ou froide : Dans cette étape, la douleur peut devenir plus intense et la température de la peau peut diminuer. Les patients peuvent également ressentir une sensation de froid et de bleuissement de la peau. Cette phase peut durer plusieurs mois à un an.
  3. La phase atrophique : Pendant cette étape, la douleur peut diminuer, mais la peau peut devenir mince, sèche et ridée. Les muscles peuvent également s’affaiblir et l’articulation peut devenir raide. Cette phase peut durer plusieurs mois à plusieurs années.
  4. La phase de rémission : Il est important de noter que toutes les personnes atteintes de SDRC ne passeront pas par cette quatrième étape. Pour ceux qui le font, cette phase est caractérisée par une diminution progressive des symptômes et une amélioration de la fonction. Cependant, même en rémission, il est possible que des symptômes résiduels tels que des douleurs occasionnelles ou une raideur persistent.

Il est important de souligner que c’ est un syndrome complexe et que chaque personne peut avoir une expérience différente. Les symptômes peuvent varier en intensité et en durée d’une personne à l’autre, et toutes les personnes atteintes de SDRC ne passent pas nécessairement par toutes les étapes. Le diagnostic précoce et une prise en charge multidisciplinaire peuvent aider à améliorer les résultats et la qualité de vie des patients.

Pourquoi les médecins Français osent-ils parler de guérison, alors que nous rentrons en rémission

Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) est une maladie complexe et difficile à traiter. Bien que de nombreux patients atteints de SDRC puissent atteindre une rémission ou une amélioration significative de leurs symptômes grâce à un traitement précoce et approprié, il n’y a actuellement aucun traitement connu pour guérir définitivement le SDRC.

Il est donc important que les médecins fournissent des informations précises et réalistes aux patients atteints de SDRC, afin de ne pas susciter de faux espoirs ou de créer des attentes irréalistes en matière de guérison. La communication honnête et ouverte entre les médecins et les patients est essentielle pour que les patients atteints de SDRC comprennent les objectifs de traitement et les résultats attendus, ainsi que pour les aider à gérer leurs attentes.

Il est possible que certains médecins en France utilisent le terme « guérison » pour rassurer les patients et leur donner de l’espoir, mais il est important que les patients comprennent que cela ne signifie pas que leur SDRC sera complètement éliminé et qu’ils ne devront plus jamais faire face à des symptômes. Il est essentiel que les patients atteints de SDRC soient bien informés sur la nature de leur maladie et les options de traitement disponibles pour gérer leurs symptômes et améliorer leur qualité de vie.

Pourtant on ne guéri pas de se syndrome car ce n’est pas une maladie, on rentre en rémission

En effet, le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) n’est pas considéré comme une maladie, mais plutôt comme un trouble du système nerveux qui se manifeste par des douleurs chroniques et d’autres symptômes tels que la sensibilité excessive, la rougeur, l’enflure et la transpiration excessive dans la zone touchée.

SDRC
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Il n’existe pas de guérison définitive pour le SDRC, mais les traitements peuvent aider à réduire les symptômes et à améliorer la qualité de vie. Le traitement précoce est essentiel pour aider à prévenir la progression de la maladie et à améliorer les perspectives de guérison.

L’objectif principal du traitement est de contrôler la douleur et d’améliorer la fonctionnalité de la zone touchée. Les traitements couramment utilisés pour le SDRC comprennent la physiothérapie, la thérapie occupationale, les analgésiques, les injections de médicaments, la stimulation électrique et la psychothérapie. Dans les cas graves, la chirurgie peut être nécessaire pour éliminer les tissus endommagés.

Il est important de noter que même avec un traitement approprié, certaines personnes peuvent ne jamais atteindre une rémission complète, mais cela ne signifie pas que le traitement est inutile. La gestion de la douleur et des autres symptômes peut aider à améliorer la qualité de vie et à permettre à une personne de vivre de manière plus fonctionnelle malgré le SDRC.

Peut-on refaire plusieurs SDRC?

Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) peut se produire plusieurs fois chez une même personne, même si cela est rare. Dans de tels cas, il est important de surveiller les symptômes et de consulter rapidement un médecin si des signes de SDRC réapparaissent.

La réapparition du SDRC peut être causée par une nouvelle blessure, une intervention chirurgicale ou une maladie, mais elle peut également se produire sans cause apparente. Il est important de noter que les personnes ayant déjà eu un SDRC sont plus susceptibles d’en avoir un à nouveau.

Il est également possible que les symptômes d’un SDRC persistant ne disparaissent jamais complètement, même après une rémission. Dans ces cas, la gestion de la douleur et des autres symptômes est importante pour permettre à une personne de vivre de manière plus fonctionnelle malgré le SDRC.

Il est recommandé de travailler en étroite collaboration avec un médecin pour surveiller les symptômes et établir un plan de traitement pour aider à prévenir ou à gérer tout retour du SDRC.

Il faut éviter l’alternance chaud-froid

En général, il est recommandé d’éviter l’utilisation d’alternance chaud-froid dans le traitement du syndrome de douleur régionale complexe (SDRC), car cela peut aggraver les symptômes et la douleur associés à cette affection.

L’application de chaleur peut augmenter la circulation sanguine dans la zone touchée, ce qui peut entraîner une augmentation de la douleur et de l’enflure, surtout dans les cas de SDRC de type chaud. L’application de froid peut provoquer une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui peut réduire la circulation sanguine dans la zone touchée, aggraver les symptômes de SDRC de type froid et causer de la douleur.

Cependant, dans certains cas, des traitements d’alternance chaud-froid peuvent être utilisés sous surveillance médicale pour aider à réduire la douleur et l’enflure. Par exemple, la cryothérapie (thérapie par le froid) peut être utilisée pour soulager les douleurs et les symptômes associés au SDRC de type chaud, en réduisant la circulation sanguine et l’inflammation dans la zone touchée.

Il est important que les patients atteints de SDRC consultent leur médecin pour discuter des options de traitement appropriées pour leur condition individuelle. Un plan de traitement personnalisé peut inclure une combinaison de médicaments, de thérapies physiques, de techniques de relaxation et d’autres interventions, en fonction de la nature et de la gravité des symptômes de chaque patient.

Comment faire frond au SDRC

Le syndrome de douleur régionale complexe (SDRC) peut être une condition difficile à gérer, mais il existe plusieurs options de traitement qui peuvent aider à soulager les symptômes et à améliorer la qualité de vie des patients atteints de cette maladie. Voici quelques conseils pour faire face au SDRC :

  1. Obtenir un diagnostic précoce : Il est important d’obtenir un diagnostic précoce et un traitement rapide pour le SDRC, car cela peut aider à minimiser les dommages et à maximiser les chances de rémission. Si vous ressentez des douleurs ou des symptômes inhabituels après une blessure ou une intervention chirurgicale, consultez un médecin pour obtenir un diagnostic.
  2. Suivre un plan de traitement : Un plan de traitement personnalisé peut inclure une combinaison de médicaments, de thérapies physiques, de techniques de relaxation et d’autres interventions, en fonction de la nature et de la gravité des symptômes de chaque patient. Suivez les instructions de votre médecin et continuez à prendre vos médicaments, même si vous ne ressentez pas immédiatement de soulagement.
  3. Pratiquer des techniques de relaxation : La gestion du stress et de l’anxiété peut aider à réduire les symptômes du SDRC. Des techniques de relaxation, comme la méditation, la respiration profonde, le yoga ou la thérapie comportementale peuvent aider à soulager la douleur et à améliorer l’humeur.
  4. Maintenir une activité physique : L’activité physique régulière, sous la supervision d’un professionnel de la santé, peut aider à améliorer la circulation sanguine, à réduire la douleur et à améliorer la mobilité. Parlez à votre médecin de l’activité physique appropriée pour votre condition individuelle.
  5. Éviter les facteurs de risque : Évitez les facteurs de risque connus pour le SDRC, comme les blessures répétées, l’inactivité physique prolongée et le tabagisme.
  6. Obtenir un soutien : Le SDRC peut être une condition isolante et difficile à vivre. Cherchez le soutien de vos proches, de groupes de soutien ou de professionnels de la santé mentale pour vous aider à faire face à cette maladie.

En résumé, le traitement du SDRC nécessite une approche multidisciplinaire et individualisée pour chaque patient. Suivre un plan de traitement approprié, pratiquer des techniques de relaxation, maintenir une activité physique régulière, éviter les facteurs de risque et obtenir un soutien peuvent tous aider à améliorer les symptômes du SDRC et à améliorer la qualité de vie.

Est-ce que tenir un journal sur la douleur est un bon moyens pour faire reconnaître l’existence de ses douleurs?

journal de la douleur
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Tenir un journal sur la douleur peut être un outil utile pour les personnes atteintes du syndrome douloureux régional complexe (SDRC) pour aider à documenter et communiquer leurs symptômes à leur équipe médicale. Cela peut inclure des informations telles que l’emplacement de la douleur, l’intensité, les facteurs déclenchants, les moments de la journée où elle est la plus présente, ainsi que tout autre symptôme connexe, tels que l’enflure ou la sensibilité.

En documentant ces informations de manière systématique, un journal de la douleur peut aider les patients à suivre l’évolution de leurs symptômes, ce qui peut être utile pour établir un diagnostic précis et pour ajuster les traitements au fil du temps. De plus, cela peut être utilisé pour aider les professionnels de santé à mieux comprendre les symptômes et la gravité du SDRC, ce qui peut aider à obtenir une reconnaissance de l’existence de la douleur et une prise en charge appropriée. Cependant, il est important de noter que tenir un journal de la douleur ne remplace pas une consultation avec un professionnel de santé et ne doit pas être utilisé comme un diagnostic en soi.

Infographie sur le SDRC que j’avais faite pour mon association de patients (Thera Wanka)

infographie
infographie SDRC Thera Wanka (mon association)

Infos sur le SDRC

info SRDC Thera Wanka
info SRDC Thera Wanka( infographie réalisée pour Thera Wanka par Kaaptur

Des sites pour en savoir plus:

Vous ne trouverez aucun site en Français, car j’ai toujours été déçue par les informations qu’ils divulguent et que j’étais en contact avec la fondation américaine pour le SDRC

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